L’interview de Rentrera-t-elle au bout d’un mois ?, en Chine

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Rentrera-t-elle au bout d’un mois ? est une jeune femme qui est partie vivre ses rêves : elle vit et voyage à l’étranger depuis 2012 tout en étant freelance !

 

 

 

 

China_580x240Où est-ce ?

Il s’agit de la plage Repulse Bay, à Hong Kong, en Chine.

 

Découvrez son interview

Carte d’identité

Pseudo : Rentrera-t-elle au bout d’un mois ?
Age : 25 ans
Situation personnelle : Fraîchement mariée
Situation professionnelle : Conceptrice-rédactrice illustratrice – Auto-entrepreneur
Pays et ville d’origine : France, Avignon
Pays et ville d’accueil : Chine, Hong Kong
Type et durée du visa : dépendant visa
Motif de l’expatriation : Opportunité professionnelle et amour du voyage
Bloghttp://rentreratelleauboutdunmois.wordpress.com/

Qui êtes-vous ?

Ancienne pubarde en agence parisienne, en 2012, j’ai fait mes cartons, j’ai dis bye-bye à Paris et suis partie pour six mois en Nouvelle-Zélande. Depuis, j’ai adopté le statut formidable de freelance et je n’ai pas cessé de voyager. Je vis à Hong Kong avec mon mari depuis Janvier 2014, et j’adore cette nouvelle vie.
Pendant mon temps libre ? Je découvre, je photographie, je noirci mes carnets de voyages, je goûte…

Premier voyage, Nouvelle Zélande, 2012

Premier voyage, Nouvelle Zélande, 2012

Avez-vous un blog ?

Mon blog a été mon confident pendant mes mois en solitaire sur les routes néo-zélandaises, puis j’ai continué à écrire, au fil de mes expéditions. J’y gribouille mes pensées au fur et à mesure des jours, il me permet de garder une trace de mes voyages et de partager.
Ça se passe par là : http://rentreratelleauboutdunmois.wordpress.com/
J’avais cette idée avant de partir que ce voyage était impossible, inatteignable tellement il me semblait de l’ordre du rêve. Je suis partie en disant ironiquement « vous verrez, dans un mois je rentre à la maison en pleurant ». C’était il y a deux ans. Je ne suis pas rentrée.

Escapade en Indonésie, 2013

Escapade en Indonésie, 2013

Où vivez-vous actuellement ?

Je vis dans un tout-petit-mais-trop-mignon appartement sur Hong Kong Island. Mon mari a signé un contrat de trois ans avec une entreprise locale. Ce n’est pas la première fois que nous partons, l’année dernière nous vivions à Jakarta, Indonésie.

Wan Chai, Hong Kong Island

Wan Chai, Hong Kong Island

Comment était votre vie dans votre pays d’origine ?

J’ai à peine eu le temps d’avoir la vie « normale » (voiture-télé-poisson rouge) avant de m’expatrier. Je vivais en colocation avec mes meilleurs amis et bossais dans une agence de pub sur Paris. A peine quelques mois après mon premier CDI, je partais pour l’aventure.

Pour quelles raisons vous êtes vous expatrié ?

La première fois que je suis partie, c’était pour l’aventure. Arrêter d’envier les autres et vivre comme je l’entendais. C’était juste pour six mois, un an tout au plus. Ça n’avait rien d’un changement de vie. Pourtant, cette décision a réellement tout changé. Il suffit de partir une fois pour prendre du recul et réaliser à quel point c’est facile. Ta vie, tu en fais ce que tu veux. Tout est une question de choix.
De retour en France après mes six mois sur les routes néo-zélandaises, j’ai pris une claque. Il m’a suffit d’un entretien d’embauche pour comprendre que je n’avais aucune envie de revenir à cette vie. Six mois plus tard, on repartait à deux, pour l’Indonésie. Il y a des opportunités professionnelles et des expériences de vie qui ne se refusent pas.

Cheers ! Indonésie 2013

Cheers ! Indonésie 2013

Comment s’est passé votre départ ?

Tout s’est fait en un mois, l’entretien d’embauche, la décision de se marier pour faciliter les choses et l’organisation qui va avec, le mariage, les valises, et on repartait. On avait à peine défait les bagages depuis l’Indonésie. Pour l’instant, on vit avec deux valises chacun, les cartons suivront dans quelques mois.
Quand à ce qu’on a ressenti au moment de partir, c’est tout simplement indescriptible… Du pur bonheur. On the road again !

Comment se sont passées les premières semaines sur place ?

Les premières semaines, nous étions logés dans un très bon hôtel, payé par l’entreprise de mon mari. J’ai fait le tour des agences immobilières, et en cinq jours, nous avions un appart dans ce qui deviendra notre quartier favori de Hong Kong.
Pour ce qui est de s’adapter à la vie locale, ça se passe très bien, on ne ressent pas du tout le choc culturel qui m’avait tant marqué à mon arrivée à Jakarta. Tout le monde parle très bien anglais et te met à l’aise ici, on est bienvenus à Hong Kong, on se fond dans le décor, on se sent très vite chez nous.

Qu’est-ce qui vous plait dans le pays où vous vivez actuellement ? Qu’est ce qui vous plaît moins ?

La vie d’expat est très intense. On vit tout à fond, les bonnes comme les mauvaises choses. Tout simplement parce qu’on ne sait pas combien de temps on va rester ici, que nos proches nous rappellent souvent la chance qu’on a, on veut donc profiter à fond, tout voir, tout vivre. On ne dit jamais « demain », on ne refuse jamais l’aventure. Si tu voyais la taille de notre to do list…

Comme je le dis, on vit tout à fond, et ça comprend aussi les moments difficiles. Lorsque j’étais à l’hôpital avec une typhoïde aigüe, je n’aurai pas dis non aux cookies de ma maman. Le texto de ma soeur « tu fais quoi, on se prend un café? » me manque aussi. La vie d’expat est loin d’être tout rose, il faut savoir faire des concessions.

Nous allons rater des naissances, des mariages et des anniversaires, nous ratons pleins d’histoires incroyables de nos amis… Mais on rattrape le temps perdu dès qu’on se voit, et on fête tout ce qu’on a raté en une soirée et quelques bouteilles de champagne. Hip!

Par rapport à la vie en France, qu’est ce qui est mieux ? Qu’est ce qui est moins bien ?

L’efficacité. Dans tous les domaines. A Hong Kong, si on te dit que ce sera fait demain, à 10h, ce sera fait demain, à 10h. Pas à 10h02, pas si Mme Chung est là, pas s’il n’y a pas gréve. Ce sera fait, point barre. Ils tiennent un point d’honneur à réaliser leurs promesses en temps et en heure. Et croyez-moi, quand on doit s’installer, trouver un appartement, ouvrir un compte bancaire, prendre les transports, s’occuper des visas et signer des contrats, et surtout, surtout après avoir vécu en Indonésie, c’est appréciable.

Un autre point formidable à Hong Kong, c’est sa diversité. Je veux parler des paysages. J’adore la ville, j’aime Paris, j’aime New York, j’aime Londres, et nous adorons tous les deux la nature, le sport et les grands espaces. Difficile de trouver un juste milieu, vous me direz. Non. A Hong Kong, nous avons les deux extrêmes. On peut faire les boutiques dans des rues dignes de Times Square le matin, faire une randonnée dans les montagnes l’après-midi et regarder le soleil se coucher depuis la plage, un cocktail à la main.

Ce qui était mieux en France ? Le ski, grand drame de mon mari, non, nous ne skierons pas à Hong Kong (mais au Japon!), le prix du fromage, et la qualité de l’air.

Antau Island, Hong Kong, 2014

Antau Island, Hong Kong, 2014

Quelles sont les caractéristiques de votre pays d’expatriation ?

Ils ont les meilleurs transports en commun du monde, et c’est le meilleur endroit au monde où manger, vous le saviez ça ? Ajoutez à ça une situation idéale pour voyager partout en Asie au départ de Hong Kong et… ah, oui. Une chaleur insurmontable en été. Nous l’attendons avec appréhension.

  • La mentalité des gens

Nous sommes arrivés il y a un mois à peine, et, de ce que nous avons vu, les gens sont très ouverts, il y a énormément d’expatriés ici et en aucun cas nous ne sommes vus différemment. Ici, les gens aiment voyager (ils auraient tort de se priver), ils sont sportifs et accros à leurs téléphones (entre un et cinq par personne).

  • Le climat

Jusque là, l’hiver était très clément, mais nous subissons une vague de froid depuis une petite semaine, les températures sont descendues à 8°C, j’ai même été forcée d’aller faire du shopping pour me trouver un pull.

Pour ce qui est de l’été, le temps est sublime et extrêmement chaud, parfois avec de grosses vagues de pollution. Ce sera le moment de partir en vacances !

  • Le logement

Les agents m’ont harcelée avec des dizaines d’annonces par jour pour trouver l’appartement de nos rêves. Certains sont vraiment doués, et dégotent de véritables perles ! Lorsqu’on a trouvé notre appartement, on a flashé, négocié un peu le prix, signé, payé, c’était réglé dans la journée.

  • Les dim sum, spécialité Hong Kongaise

    Les dim sum, spécialité Hong Kongaise

    La nourriture

La nourriture Thaï est, comme partout, succulente. Nous avons découvert les Dim Sum, de véritables petites merveilles, spécialitées de Hong Kong incontournables. Ce qu’on déteste, certaines odeurs immondes qui proviennent de certains restaurants, et les desserts chinois. Ils essaient, ils sont plein de bonne volonté, mais un bol de glaçons avec une boule de glace vanille, de la gelée noire, des haricots rouges et des fleurs de lotus, ça donne quelque chose de très étrange. Qu’ils ici appellent dessert.

Ce qui nous manque, le fromage, bien qu’il y en ai des excellents, c’est très cher. Et je suis toujours à la recherche du shop qui vend de la pâte feuilletée. Et je me demande si le vinaigre basalmique existe à HK ! Les petits problèmes classiques de la vie d’expat.

  • Les vacances

Mon mari a 28 jours de vacances. Assez pour prévoir de belles vacances ! Quand à moi, tout est une question d’organisation, mais généralement, je pars quand je veux. Et si les clients ont une urgence, je travaille en vacances.

Le Star Ferry au départ de Kowloon

Le Star Ferry au départ de Kowloon

  • La conduite

Les transports publics sont tels que ça ne vaut vraiment pas la peine d’avoir sa voiture. Ceux qui en ont sont des passionnés qui ont des sous. On croise donc régulièrement Ferraris, Jaguars et Rolls Royces dans la ville.

On roule à gauche !

Attention aux bus, les chauffeurs ont envie d’être efficaces pour être mieux payés, par conséquent ils foncent ! Accrochez-vous. Autrement le métro est très propre et jamais en retard, et les taxis peu chers comparé à Paris. On se déplace aussi en ferry, en tram et en mini-bus.

  • La censure

Pas que je sache. Les gens sont très ouverts d’esprit à Hong Kong.

  • Ce qui coute cher dans votre pays d’accueil / ce qui ne coûte pas cher

Les logements sont extrêmement chers, c’est le point noir de la vie à HK. Mais on le savait en arrivant, il suffit de prévoir le budget nécessaire.

A côté de ça, les restaurants et surtout les traiteurs à emporter sont ridiculement peu chers. On peut manger un poulet au curry copieux à 4 pour moins de 5€. Les transports ne sont pas onéreux non plus, quand on voit leur efficacité, c’est vraiment très rentable.

Qu’est-ce qui vous dérange le plus dans les mentalités, les habitudes culturelles du pays ?

Cette mauvaise manie très asiatique de tout négocier. Tout ! Le prix du loyer, de la salle de sport, de mes lunettes de soleil, tout, tout, tout. Si tu ne veux pas négocier, c’est simple, tu paieras trois fois le prix de ton voisin.

Avez-vous des «habitudes» ?

Après cinq jours sans sushis, je suis en manque. Je sais, on n’est pas au Japon. Mais ils sont vraiment très bons, ici, et nettement moins chers que chez nous. Il est difficile de parler d’habitudes quand ça ne fait qu’un mois que nous vivons ici.

Ah, si, j’ai fait du café Australien du coin mon repère pour travailler autour d’un bon cappuccino. Un délice !

Mon café favori, à deux pas de chez moi

Mon café favori, à deux pas de chez moi

Y’a-t-il beaucoup de choses à visiter aux alentours ?

On en a pour toute une vie à visiter « les alentours ». A chaque fois qu’on parle de ce qu’on veut voir dans le coin, on se dit qu’on n’aura jamais assez de trois ans ici, il faudra rester plus… Hong Kong, est déjà en soi, immense et très divers, il y a toutes les îles paradisiaques, les plages, les montagnes, les Nouveaux Territoires… Puis il y a la Chine à quelques pas (2h en train), et toute l’Asie qui nous tend les bras avec des vols low-cost vraiment peu chers.

Décrivez votre cadre de vie ?

Nous vivons à Wan Chai, le quartier de tous les restaurants, des boutiques, des librairies… Il y a tout à deux pas de chez nous ! D’ici, on peut prendre le Star Ferry pour rejoindre Kowloon ou pour aller à Macau, les trams se croisent sans cesse, les musées sont à deux pas. C’est très busy, il y a toujours du monde, des marchés, des foires, des évènements…

Les trams, appelés Ding Ding par les locaux

Les trams, appelés Ding Ding par les locaux

Pouvez-vous nous raconter une anecdote ?

Lorsque nous visitions le quartier, nous sommes tombés dans une ruelle sombre, où une dizaine de petits mandarins (les jolis petits oiseaux colorés) étaient morts, sur le sol. Il y en avait partout ! Juste en face, un restaurant local. Nous avons entendu parler de ces oiseaux qu’on mange crus à HK, nous nous sommes posé la question, nous n’avons pas voulu en savoir plus, nous avons continué notre route.

Pouvez-vous nous raconter une journée typique ? De travail puis une journée de weekend ?

La journée travail ? Réveil-breakfast-musique-à-fond. Je bosse quelques heures à la maison, je pars découvrir l’une des nombreuses merveilles de la ville (musée, expo, parc, boutiques), je rentre manger, puis je vais prendre bosser quelques heures au café. Je finis ma journée à l’appart, puis il est temps de profiter des nombreux bars du quartier, ou d’aller courir dans les Mid-Levels.

Pour ce qui est des journées de repos, le plus souvent, nous les passons dans l’outback, à randonner, pour finir la journée dans un délicieux restaurant avec d’autres marcheurs.

Votre adaptation

Votre intégration a-t-elle été facile ?

C’est une ville d’expat, ici ! On rencontre des locaux, mais aussi des British, des Singapouriens, des Australiens, des Japonais… Alors oui, l’intégration se passe très bien.

Avez vous rencontré facilement les « gens du pays » ?

Je me suis inscrite dans un groupe de randonnée, on se retrouve plusieurs fois par semaine, et les amitiés se font très vite. A côté de ça, les rencontres se font doucement, au fil des jours.

Voyez vous / côtoyez vous d’autres français sur place ?

Nous avons pas mal d’amis d’amis qui vivent ici, mais nous n’avons pas encore pris le temps de les rencontrer.

Vous êtes vous facilement adaptés à votre nouveau pays ?

Oui ! D’après les expats Européens qu’on a rencontré, l’adaptation est difficile dans l’autre sens, quand on rentre dans notre pays d’origine. On a rencontré un expat qui a vécu longtemps ici, est rentré en France, et a tout de suite changé d’avis, il s’est battu pour retourner à Hong Kong, où il se sentait nettement mieux.

Connaissez-vous la langue du pays ?

Le cantonais ? Disons que pour commencer je vais essayer de perfectionner mon anglais…

Votre lien avec votre pays d’origine

A quelle fréquence rentrez vous dans votre pays d’origine ?

Aucune idée. Nous verrons les opportunités, les évènements qui nous ferons rentrer. Un mariage et un anniversaire, l’année prochaine. Sans doute une fois par an. A suivre.

Avez vous des contacts réguliers avec votre entourage resté en France ?

Non, nous les avons tous oubliés et remplacés ! Oui, ils nous manquent. On se Whatsapp pour tout et pour n’importe quoi, on se Facetime pour montrer le nouveau pull qu’on a acheté cette aprèm ou pour parler business, et surtout on se retrouve.

Je rejoins mes anciens colocataires en Australie le mois prochain. Et nos familles ont prévu de venir nous voir. Le programme est déjà bien chargé, et la chambre d’amis (le salon) fully booked !

Avez vous prévu de revenir vivre dans votre pays d’origine un jour ?

Oui, bien sûr. Comment prévoir ça, on verra bien ce que la vie nous réserve ! Pour l’instant, on profite de notre vie ici.

Conclusion

Avez vous évolué ou grandit depuis votre départ ?

Oui, oui et oui. Depuis, j’ai monté mon business, je suis indépendante et nous nous sommes mariés. Les choses ont bien changé, nous sommes passé du statut de backpackers à « la vraie vie », même si on n’a toujours ni le Scénic ni le poisson rouge. Le voyage fait grandir, c’est certain. On prend confiance et surtout on sait ce qu’on veut, ce qu’on ne veut pas, et on sait de quoi on est capable.

Les choses paraissent moins difficiles, certains plans qui étaient de l’ordre du rêve sont devenus des projets aujourd’hui.
On a vécu de grosses galères d’expat, notamment en Indonésie, qui nous ont fait mûrir et relativiser sur la notion de confort et de « problèmes ».

Nous avons grandi sur une chose également, notre opinion sur l’Asie. Allez savoir pourquoi, c’était le continent qui nous attirait le moins, il y a deux ans. Maintenant que nous y vivons, nous avons prévu de faire la Thaïlande, Taïwan, le Cambodge, le Japon et la Chine !

Avez-vous des conseils pour les futurs-expatriés ?

Je sais que ce mode de vie ne convient pas à tout le monde, mais essayez, vous n’êtes pas à l’abri d’adorer ça.

Comment vous voyez vous dans 5 ans ?

Encore à Hong Kong, je pense. Dans une maison avec plus d’espace, sur une île. En train de me préparer pour le Hong Kong Trail avec mon mari.

Comment vous voyez vous dans 20 ans ?

Dans 20 ans ! Installés à Sydney avec nos marmots et notre poisson rouge (enfin!). Mon mari ira se faire croquer par les requins tous les matins sur sa planche de surf, et nous partirons tous les week-ends à l’aventure. Certains de nos amis nous aurons rejoins là bas, on se fera des gros barbecues sur la plage pour Noël.

Comment préparez vous votre retraite ?

Ah oui, tiens, il va vraiment falloir que je commence à y penser.

Dans quel coin du monde rêvez vous de vivre ?

Je suis très bien ici. Le Canada me fait rêver. Et l’Océanie.

Où aimeriez vous vivre une fois que vous serez à la retraite ?

J’ai tellement d’idées que je pourrais vous écrire une liste sans fin. Je vais me contenter d’une : les Alpes.

Retrouvez Rentreratelleauboutdunmois sur son blog

Le blog de Rentreratelleauboutdunmois : http://rentreratelleauboutdunmois.wordpress.com/

rentreratelleauboutdunmois

Un an plus tard

Que devient l’auteure du blog « Rentrera-t-elle au bout d’un mois? » ? Est-elle finalement rentrée ?

La réponse dans sa nouvelle interview :

Un an plus tard

Remerciements

Merci à Rentreratelleauboutdunmois d’avoir pris le temps de répondre à toutes mes questions et d’avoir partagé avec nous sa nouvelle vie à Hong Kong !

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